
Publié par Jean-François Bertrand
La Presse, 13 décembre 2018
Une seule des 14 plaintes soumises par les autorités policières et visant le producteur Gilbert Rozon s’est traduite par le dépôt d’accusations hier, du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP). Pourquoi un si petit nombre ? La décision du DPCP risque-t-elle de décourager d’autres victimes d’agressions sexuelles ? Explications et analyses.